Estavannens
Estavannes
Titre

 

Notice historique sur Estavannens

Les habitants d’Estavannens sont des stabadins et des stabadines.
Leur sobriquet  : “Lè medze bakon” (les mangeurs de lard).

 

 

 

 

Nomenclature des personnalités

 

 

 

Cliquer sur le logo de votre choix

 

 

 

Syndics, secrétaires, boursiers
et conseillers communaux

Conseillers de paroisse,
caissiers, secrétaires, commissions

Pintiers et aubergistes

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Officiers d’état civil, postiers et notables

Curés desservants

Ecoles et enseignants

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Bataille de Morat

La bataille de Morat

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Bataille de Morat

 

 

Liste des participants

récit de la bataille

autrre récit de la bataille

 

 

 

 

Comtes de Gruyères

Liste des comtes de Gruyères à gauche



Historique du Comté à droite

Ecu_Estavannens

 

 

 

 

soldat du 18è siècle,jpg

1639 - Mariage d’un soldat suisse au Fort de Barraux (sous le règne de Louis XIV)
1742 -  Estavannens durant la guerre de 7 ans (succession d’Autriche)
1787 -  Estavannens  et la fin du service mercenaire en France
1798 -  Estavannens et l’invasion de la Suisse par l’ armée française
1832 -  Estavannens dans le dictionnaire du canton de Fribourg  de F. Kuenlin

(cliquer dans l’image de gauche)

Soldats du 18ème siècle

 

 

 

 

 

jeep Willys

La mécanisation et la motorisation à Estavannens

(cliquer dans l’image de gauche)

Jeep Willys du débarquement de Normandie

 

 

 

 

 

Balance

Poids et mesures en vigueur dans la région
avant l’introduction du système métrique par la révolution française de 1789

(cliquer dans l’image de gauche)

Poids, longeurs, surfaces,  volumes... etc

 


Joseph Magnin


08.08.1907  -  27.01.1982

En 1943, un garde-chasse
lui tire  deux coups de
fusil dans le dos
lors d’une sortie de braconnage
.
 


Pour connaître cette histoire

cliquer sur la photo ci-dessus

 


Le gros « vouêrnyo » (sapin blanc) dou Pyan di bàjè (du plan des bouses) a été abattu en 1940.
Profitant de l’absence du chef-forestier, la quinzaine de bûcherons
l’a fait rouler dans la forte pente.
La bille (intransportable) est arrivée jusqu’à la laiterie
fracassant au passage la croix des ”Gotè”

De droite à gauche :

Jean Jaquet, chef forestier (1891-1966); Clément Jaquet, futur chef forestier (1911-1985);
Eugène Jaquet, feu Emile (1910-1989);
Alexis Pharisa, dit Yaggi (1893-1960); Roger Magnin, feu Alfred (1924-1981);
Pascal Pharisa, feu Jean de la Scie (1918-1987);
Oscar Pharisa, père d’Armand et de Pierre (1889-1962).
 

 

 

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Jean Joseph Jaquet, d’Estavannens
 curé de Neirivue durant 52 ans

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Cliquer dans l’image ci-dessus
pour voir son testament

 

Cliquer dans l’image ci-dssus
pour voir sa généalogie

 

 

 


Une forte tête : Joseph Jaquet
conseiller d’Etat,
conseiller national (1822-1900)
 

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Son testament original (chez Gérald Jaquet, à Estavannens) comporte 5 pages manuscrites A4

La retranscription par Jean Pharisa comporte 3 pages


Il a écrit “Les souvenirs d’un gruyérien”  (1822-1871) en 4 volumes
 

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La  vie à Paris de 1822 à 1830, le retour à Estavannens en 1830,
les écoles militaires, une excursion en Valais, la guerre du Sonderbund,
greffier au tribunal de la Gruyère,
les élections de 1847 et les insurrections de 1848,
 les chemins de l’exil : en Italie, en Autriche et en Allemagne,
le retour en Suisse, l’assemblée de Posieux,
l’arrestation, les guets-à-pens, l’imposition des insurgés de 1848.

 volume 1

Contenu de la première partie :
les années 1822 à 1857
(50 pages)

 

 

 

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La pétition des insurgés au grand conseil, les élections de 1853,
les bagarres entre radicaux et conservateurs,
la plainte des conservateurs aux chambres fédérales,
les études de droit, la carrière militaire, l’internement des “bourbakis”,
le mariage et voyage de noces,
les élections de 1856 avec la victoire conservatrice,
les personnages guériens importants,
la transformation politique, la nomination comme notaire et avocat,
les nouvelles études à Berlin en 1860.

 volume 1

Contenu de la seconde partie :
les années 1857 à 1860
(45 pages)

 

 

 

 

Historique sur Estavannens par Clément Fontaine,
instituteur à Hauteville puis à Villars-sous-Mont
(pages 43 - 52)

+ un extrait des volumes 2 et 3 des “Souvenirs d’un gruyérien” par Joseph Jaquet
(pages 53 - 56)

 

 

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Cliquer sur le cavalier

 

 

 

 

 

 

 

Notice historique de 1879, par l’historien Louis Gérard,
ainsi que quelques informations supplémentaires en provenance d’autres sources.

 

 

Ce résumé si succinct ne me suffisant pas il m’a paru curieux pour moi et utile à mes semblables de fureter dans les arcanes du passé pour reconstituer, à l’aide des documents qui s’y trouvent, l’histoire de cette petite localité. Grâce à la condescendance des autorités tant ecclésiastiques que civiles de l’endroit, j’ai eu toute espèce de facilités à cet égard. Muni des clés qui ont bien le cachet du temps, j’ai trouvé dans un coin secret de la petite église, le coffre précieux, véritable “ arche de Noé”, qui de même que celle-ci le préserva lui et tout ce qui y était renfermé, du déluge, a sauvé ici de la ruine et de la destruction une mine inépuisable de documents d’un autre âge qui, après une étude qui ne laissera pas que de présenter quelques difficultés pour arriver à déchiffrer tous ces vieux grimoires, finira toujours par se prêter assez bien à rouvrir pour nous l’histoire du passé.

L’arche en bois de noyer porte incrustée au moyen d’un placage d’érable assez bien exécuté, la date de 1622, d’un côté de la serrure et de l’autre, les initiales J.D. d’un Jean Desiensy, maître-charpentier (il y en avait déjà ici en 1432).

Une fois en possession de ces précieux titres dont les richesses historiques avaient déjà été antérieurement appréciées, à un point de vue général, par un collectionneur qui fait autorité dans le canton, M. le Professeur Gremaud, nous n’eûmes plus qu’à nous armer de patience et à faire appel à nos souvenirs classiques pour parvenir quelquefois à l’aide d’une loupe, à déchiffrer ces textes que tout a concouru à rendre presque illisibles en beaucoup de passages.

Un regret que je ne puis m’empêcher de témoigner ici, c’est de trouver dans un si piteux état de conservation des titres la plupart sur parchemin et pour l’ordinaire dépouillés des sceaux qui en augmentaient de beaucoup la valeur historique.
                                                                                  Louis Gérard, 1879

 

 

Page
de couverture

 

La paroisse
pages 1 à 20

La commune
pages 21 à 42

 

 

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La déclaration de la guerre de 1914
 

par Maurice Caille (1907 - 1997)
 

soldat-suisse-en-1914

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Texte en patois gruérien

Traduction en français par Jean Pharisa, Bulle

(concours des patoisants gruériens 1993)

(octobre 2017)

 

 


Coupures de presse

Photocopies des pièces originales ou prises de notes

Résultat de mes recherches auprès du Musée gruérien et du journal “La Gruyère” deux à quatre visites par semaine (2 heures par visite).
du 8 avril 2003 au 1er mai 2004, soit 9 visites à “La Gruyère” et 193 visites au Musée gruérien,
soit quelque 404  heures de lecture, de relevés de textes et de photographies de documents (sans compter le transfert sur le site).

Vous pouvez accéder au journal “La Gruyère” de 1882 à 1930 à partir du lien suivant

http://doc.rero.ch/search?c&cc=PRESS&c=NAVPRESS.LA_GRUYERE&ln=fr

(Jean Pharisa)
 

 

 

 

 

 

1868 - 1930  : 13 pages

La Gruyère
Le Fribourgeois
La Feuille d’Avis de Bulle


complet jusqu’en 1930
complet jusqu’en 1930
complet jusqu’en 1930

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1931 - 1950  : 17 pages

La Gruyère
Le Fribourgeois
La Feuille d’Avis de Bulle



complet jusqu’en 1950
complet jusqu’en 1950
complet jusqu’en 1950

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1951 - 1970  : 19 pages

La Gruyère
Le Fribourgeois
La Feuille d’Avis de Bulle



complet jusqu’en 1970
complet jusqu’en 1970
complet jusqu’en 1968

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1971 - 2003  : 5 pages

La Gruyère
Le Fribourgeois
La Liberté



complet jusqu’en 2003
complet jusqu’en 1976
complet jusqu’en 2003

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Chronique historique de Bas-Intyamon
2004  -  2010
(cliquer sur l’image à droite)
7 pages

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Chronique historique d’Estavannens
à partir du 1er janvier 2011  -  2030
(cliquer sur l’image à droite)
2 pages

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La fin d’une époque
 

 

 

En 1940, seules deux personnes travaillaient à l’extérieur du village : Irénée Blanc, à la chocolaterie de Broc et François Grandjean, père de
Calybite, sur la voie de chemin de fer. Toute la population était occupée dans le village, principalement dans le secteur primaire.

Dans
les années 1965 - 70, Anselme Caille cesse son activité de cordonnier

Le 16 juin 1970, Casimir Jaquet, né le 3 janvier 1895, décède à l’âge de 75 ans. Il n’y a plus de charron au village.

Le 6 juillet 1986, Maurice Jaquet, né le 21 avril 1916, décède à l’âge de 70 ans. Il n’y a plus de sellier au village.

Le 7 août 1987, Roger Jaquet, né le 1er février 1935, décède à l’âge de 52 ans. Il n’y a plus de boulanger au village.

Le 11 septembre 1991, Louis Pharisa, né le 13 juillet 1909, décède à l’âge de 82 ans. Il n’y a plus de menuisier-charpentier au village

Notez que ces cinq personnages ont travaillé jusqu’à leur dernier jour...

En 1954, Edith Magnin quitte le village pour Genève. Elle cède son magasin d’alimentation, situé au coin de la scie, à Denise Jaquet-Pharisa.
Celle-ci va l’exploiter durant 6 ans, jusqu’à son transfert au centre du village.

En 1976, Denise Jaquet-Pharisa ferme son magasin d’alimentation, situé près du café des Monta- gnards. Il avait été ouvert en 1959 et a
donc été exploité durant près de 18 ans

En 1980, Marthe Caille-Pharisa, ferme son magasin d’alimentation situé au village d’en-haut, après 47 ans d’activité, c’est-à-dire depuis 1933.

En juillet 2001, la Poste Suisse, ferme le bureau postal du village. Celui-ci est rattaché à celui de Grandvillard, dépendant lui-même
d’Albeuve. Bernard Favre, le dernier buraliste d’Estavannens, devient responsable de la filiale de Grandvillard. Suite à la réorganisation de
La Poste en 2009, le bureau est heureusement maintenu.

En décembre 2009, Marie-Thérèse Jaquet, au fond du village d’en-bas, ferme son commerce. Il n’y a plus de magasin d’alimentation au village
 

 


Fondation de la commune de Bas-Intyamon

Le 11 septembre 2003, les citoyens des communes d’Estavannens, d’Enney et de Villars-sous-Mont
ont décidé, lors d’assemblées séparées, de fusionner en une seule commune.
Cette nouvelle commune a vu le jour le 1er janvier 2004 et a pris le nom de commune de Bas-Intyamo
n.

“de gueules à la grue au vol dressé d’argent, p
passant sur un mont de trois copeaux
du même, accostée de deux épées d’argent
garnies d’or, la pointe en chef”

Les deux épées évoquent les deux héros
de Villars-sous-Mont
CLAREMBOZ et BRAS-DE-FER
qui s’illustrèrent en 1349
dans une bataille en forêt de Sauthaux

 

 

 

 

 

 

  Les célébrations de la “Poya d’Estavannens” eurent lieu :

 

 

 

 

 

 

Le 6 mai 1956
Le 15 mai 1960
Le 15 mai 1966
Le 9 mai 1976
Les 6 et 7 mai 1989  (Raymond Gremaud)
Les 12, 13 et 14 mai 2000  (Raymond Gremaud)
 
  Les 9, 10, 11 et 12 mai 2013  (Edgar Schorderet).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lors de l'assemblée communale du 29 janvier 2008, M. le  Syndic a annoncé le départ à  la retraite de Mme Cécile Conus, après 30 ans de bons et loyaux services. Au nom du Conseil communal et de la population en général, il lui adresse des félicitations et des  remerciements pour tout le travail accompli durant toutes ses années,  d'abord au service de la commune d’Estavannens du 1er janvier 1978 au 31 décembre 2003 et celui de la commune de Bas- Intyamon dès le 1er janvier 2004.

Son départ en retraite interviendra le 29 février 2008. C'est donc la dernière  fois qu'elle officie en sa qualité de secrétaire au procès-verbal de l'assemblée communale.
    
Les mots de M. le Syndic lui vont droit au coeur et c'est avec une  grande émotion qu'elle reçoit un  magnifique bouquet de fleurs des mains  de M. le Syndic. Elle est vivement applaudie par l'assemblée.

 

 

Cécile Conus, secrétaire communale, part à  la retraite

 

 

 

 


Anciens conseillers commuaux de Bas-Intyamon

 

 

 

 

 

 

 

  Oliviers Ruffieux

- aménagement du territoire

 

  Estavannens

- environnement

 

 

- constructions

 

  Conseiller

- bâtiments communaux

 

 

 

 

  026 921 33 51

 

 

  079 632 37 37

 

 

 

 

 

 

 

Législature : 2004 - 2006 dans la commune de Bas-Intyamon, soit 2 ans 1/4
Législature : 2002 - 2004 dans la commune d’Estavannens, soit 2 ans 3/4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Stéphane Pharisa

 

 

 

  Estavannens

 

 

 

 

 

Ecoles

 

  Conseiller

 

Petite enfance

 

 

 

Culture

 

 

 

Tourisme

 

 

 

Sport - Cimetières

 

Décédé
27.01.2011

 

 

 

 

Législature : 2004 - 2011 dans la commune de Bas-Intyamon, soit 7 ans 
Législature : 2002 - 2004 dans la commune d’Estavannens, soit 2 ans

 

 

 

 

 

 

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